les écrans une autre franchise ultra-populaire
Il s'apprête à enfiler à nouveau le smoking de 007 dans Skyfall, qui sortira en novembre 2012. Mais pas avant d'avoir lancé sur les écrans une autre franchise ultra-populaire avec Millénium, premier volet de l'adaptation US de la célèbre trilogie de Stieg Larsson. Réputé « difficile » et plutôt direct en interview, Daniel Craig n'a pas déçu...
Voici : Bonjour Daniel. Vous aviez lu Millénium avant qu’on vous propose le rôle du journaliste en croisade, Mikael Blomkvist ?
Daniel Craig : Je l’ai lu à sa sortie, des années avant de savoir que quelqu’un aurait l’idée d’en faire un film. Et déjà, je me voyais bien dans le rôle.
Ah oui, pourquoi ?
Le personnage est fragile, bourré de défauts, dur et doux à la fois, mais il a un compas moral, une vraie intégrité... Je n’ai donc eu aucun mal à m’identifier à lui.
Votre partenaire dans le film, Rooney Mara, a vécu l’enfer pour devenir Lisbeth Salander. En comparaison, vous avez eu la vie plutôt facile, non ?
Oui, je n’ai pas vécu, comme Rooney, toutes ces épreuves de casting, interminables et douloureuses, et surtout, je n’ai pas eu, comme elle, à subir de transformations physiques. Mais je ne me suis pas épargné non plus dans le film. Les scènes apparemment difficiles sont ce qu’il y a de plus facile à jouer pour un acteur. Ouvrir une porte, entrer dans une voiture, sortir d’une voiture, mettre le contact… Ça c’est compliqué ! Surtout sur un film de David Fincher, où vous êtes souvent appelé à refaire le même geste trente fois de suite...
David Fincher fait parfois jusqu’à cent prises pour une même scène.
C’est vraiment si horrible de bosser avec lui ?
Au contraire. Chaque fois qu’un réalisateur me dit qu’il aime faire plusieurs prises, je lui réponds : « Vas-y, si t’es cap ! » Dites-vous bien qu’un acteur est quelqu’un qui aime revêtir de beaux costumes et se la péter devant la caméra. Pourquoi est-ce que je rechignerais à faire des prises ?
Vous êtes plutôt chic dans le film. La mode suédoise, vous en pensez quoi ?
Vous avez vraiment dit ça ? Vous pensez vraiment me faire répondre à cette question ! ?
Euh, seulement si vous décidez d’y répondre… Vous n’aimez pas beaucoup les journalistes, je me trompe ?
J’aime le bon journalisme. Dans une société dite démocratique, le quatrième pouvoir reste un pilier essentiel, et certains de mes héros personnels sont des journalistes. Maintenant, il y a journalisme et journalisme... De toute évidence, certains journalistes ont un effet néfaste sur ma vie, mais je suis suffisamment costaud et cynique pour comprendre ça.
Vous faites référence à la presse tabloïd, c’est bien ça ?
Je parle de cette culture généralisée de la presse people, oui. Toutes ces couvertures de magazines, ces paparazzi, cette insistance des gens à vouloir TOUT savoir de votre existence comme si vous leur apparteniez. Pas question, je ne vous dirai rien ! (il explose de rire)
Oui, mais vous êtes James Bond, c’est la règle du jeu...
C’est vrai, oui, et j’en ai parfaitement conscience. Je sais très bien que je ne peux plus revenir en arrière et retrouver une vie normale. Ce n’est pas comme ça que ça marche…
C’est exactement ce que vous reprochiez à la famille Kardashian dans une récente interview accordée au GQ anglais…
Je n’aurais pas dû m’en prendre à elles de la sorte, c’était un peu stupide. Mais je continue de penser que si vous avez été suffisamment voraces pour vendre en pâture votre intimité aux gens, ce n’est pas la peine de venir vous plaindre après et de crier à l’invasion de votre vie privée. Et puis quoi, encore !
Vous avez parfaitement manœuvré en tout cas pour garder secret votre mariage avec l’actrice Rachel Weisz. Personne n’a rien vu venir !
On a réussi à ne pas se faire repérer, mais je n’en fais pas une victoire personnelle. On s’est mariés pour des raisons qui nous concernent, nous et personne d’autre, et on ne voulait pas tout foutre en l’air en partageant notre « secret » avec le reste du monde. L’exclusivité : c’est la définition même du secret...
Vous avez l’air heureux…
Très heureux. Et c’est à peu près tout ce que j’ai à dire sur le sujet.
Ça vous agace si je dis que vous êtes l’une des dernières stars viriles ?
Vous savez, j’ai grandi dans la banlieue de Liverpool, dans un environnement qui ne faisait pas de cadeaux. J’ai quitté l’école assez tôt, à 16 ans, pour courir les auditions. Tout cela a dû forcément m’endurcir.
Le nouveau James Bond, Skyfall, on peut en parler ?
Un petit peu. Sam Mendes en est le réalisateur, et je suis très impatient car le scénario de ce nouvel opus est nettement supérieur à celui de Quantum of Solace. J’ai hâte que le public voit le résultat. Et tant pis si je vais devoir faire des cabrioles dans la presse au moment de la sortie du film. Le jeu en vaut la chandelle…
calme et privilégié que sa seule présence a rendu incroyablement sexy porno-r.com
Voici : Bonjour Daniel. Vous aviez lu Millénium avant qu’on vous propose le rôle du journaliste en croisade, Mikael Blomkvist ?
Daniel Craig : Je l’ai lu à sa sortie, des années avant de savoir que quelqu’un aurait l’idée d’en faire un film. Et déjà, je me voyais bien dans le rôle.
Ah oui, pourquoi ?
Le personnage est fragile, bourré de défauts, dur et doux à la fois, mais il a un compas moral, une vraie intégrité... Je n’ai donc eu aucun mal à m’identifier à lui.
Votre partenaire dans le film, Rooney Mara, a vécu l’enfer pour devenir Lisbeth Salander. En comparaison, vous avez eu la vie plutôt facile, non ?
Oui, je n’ai pas vécu, comme Rooney, toutes ces épreuves de casting, interminables et douloureuses, et surtout, je n’ai pas eu, comme elle, à subir de transformations physiques. Mais je ne me suis pas épargné non plus dans le film. Les scènes apparemment difficiles sont ce qu’il y a de plus facile à jouer pour un acteur. Ouvrir une porte, entrer dans une voiture, sortir d’une voiture, mettre le contact… Ça c’est compliqué ! Surtout sur un film de David Fincher, où vous êtes souvent appelé à refaire le même geste trente fois de suite...
David Fincher fait parfois jusqu’à cent prises pour une même scène.
C’est vraiment si horrible de bosser avec lui ?
Au contraire. Chaque fois qu’un réalisateur me dit qu’il aime faire plusieurs prises, je lui réponds : « Vas-y, si t’es cap ! » Dites-vous bien qu’un acteur est quelqu’un qui aime revêtir de beaux costumes et se la péter devant la caméra. Pourquoi est-ce que je rechignerais à faire des prises ?
Vous êtes plutôt chic dans le film. La mode suédoise, vous en pensez quoi ?
Vous avez vraiment dit ça ? Vous pensez vraiment me faire répondre à cette question ! ?
Euh, seulement si vous décidez d’y répondre… Vous n’aimez pas beaucoup les journalistes, je me trompe ?
J’aime le bon journalisme. Dans une société dite démocratique, le quatrième pouvoir reste un pilier essentiel, et certains de mes héros personnels sont des journalistes. Maintenant, il y a journalisme et journalisme... De toute évidence, certains journalistes ont un effet néfaste sur ma vie, mais je suis suffisamment costaud et cynique pour comprendre ça.
Vous faites référence à la presse tabloïd, c’est bien ça ?
Je parle de cette culture généralisée de la presse people, oui. Toutes ces couvertures de magazines, ces paparazzi, cette insistance des gens à vouloir TOUT savoir de votre existence comme si vous leur apparteniez. Pas question, je ne vous dirai rien ! (il explose de rire)
Oui, mais vous êtes James Bond, c’est la règle du jeu...
C’est vrai, oui, et j’en ai parfaitement conscience. Je sais très bien que je ne peux plus revenir en arrière et retrouver une vie normale. Ce n’est pas comme ça que ça marche…
C’est exactement ce que vous reprochiez à la famille Kardashian dans une récente interview accordée au GQ anglais…
Je n’aurais pas dû m’en prendre à elles de la sorte, c’était un peu stupide. Mais je continue de penser que si vous avez été suffisamment voraces pour vendre en pâture votre intimité aux gens, ce n’est pas la peine de venir vous plaindre après et de crier à l’invasion de votre vie privée. Et puis quoi, encore !
Vous avez parfaitement manœuvré en tout cas pour garder secret votre mariage avec l’actrice Rachel Weisz. Personne n’a rien vu venir !
On a réussi à ne pas se faire repérer, mais je n’en fais pas une victoire personnelle. On s’est mariés pour des raisons qui nous concernent, nous et personne d’autre, et on ne voulait pas tout foutre en l’air en partageant notre « secret » avec le reste du monde. L’exclusivité : c’est la définition même du secret...
Vous avez l’air heureux…
Très heureux. Et c’est à peu près tout ce que j’ai à dire sur le sujet.
Ça vous agace si je dis que vous êtes l’une des dernières stars viriles ?
Vous savez, j’ai grandi dans la banlieue de Liverpool, dans un environnement qui ne faisait pas de cadeaux. J’ai quitté l’école assez tôt, à 16 ans, pour courir les auditions. Tout cela a dû forcément m’endurcir.
Le nouveau James Bond, Skyfall, on peut en parler ?
Un petit peu. Sam Mendes en est le réalisateur, et je suis très impatient car le scénario de ce nouvel opus est nettement supérieur à celui de Quantum of Solace. J’ai hâte que le public voit le résultat. Et tant pis si je vais devoir faire des cabrioles dans la presse au moment de la sortie du film. Le jeu en vaut la chandelle…
calme et privilégié que sa seule présence a rendu incroyablement sexy porno-r.com
mentar - 4. Feb, 08:27